WHEDONVERSE : TALES OF BUFFY

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damned life of a vampire slayer (solo)

weird fox
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ÂGE : 35
ANNIVERSAIRE : 07/02/1989
DATE D'INSCRIPTION : 26/01/2012
MESSAGES : 549
Absence : présence réduite
Sam 03 Nov 2012, 2:39 am
weird fox
CHAPTER 1 ... l'éveil


Nous aurions pu dire que l'histoire se termina bien et que tous étaient heureux, mais cela serait que pur mensonge. Oui, car tout se termina très mal, en particulier la vie de Delwyn. En effet, la tueuse rousse fut assassiné des mains diaboliques de Byron, le vampire très puissant qui s'en était pris à la petite ville de Sunnydale avec son armée assoiffés de sang et de morts vivants. Voilà que des mois ont passés et que la vie a changé, Byron n'est plus et la vie a reprit son cours. Les gens avaient recommencé à vivre normalement, comme si tout cela n'était jamais arrivé.

Mais pour Delwyn, tout ça restera toujours un cauchemar. Sa vie à elle a totalement changé. Pas parce qu'elle était morte, mais plutôt parce qu'elle n'était plus vraiment maître d'elle-même. Pourquoi ? Car une équipe militaire l'a enlevé de son repos six pieds sous terre et l'a transporté jusqu'à un laboratoire top secret dans le désert du Texas. Son calvaire était loin d'être terminé, loin de là, il venait de recommencer de plus belle.

Voilà maintenant plusieurs mois que Delwyn trouva la mort. Nous étions en mois de février et les scientifiques avaient réussit à lui donner un soupçon de vie, pour ne pas que si elle finit par se réveiller, ce qui était peu probable, qu'elle ait des séquelles majeurs ou bien que simplement elle moisisse comme un réelle cadavre qu'elle devrait normalement être.
Mais ce huit février là, elle se trouvait allongé comme depuis toujours sur sa table d'examens, recouverte d'un drap blanc laissant seulement entrevoir sa tête, ses bras et ses jambes. Elle paraissait si paisible, on aurait dit qu'elle dormait simplement comme toute personne l'aurait fait. Contrairement à d'autre, elle était branché d'un peu partout et une aiguille lui était planté dans une veine de son bras prête à être utilisé à des fin de prélèvement de sang. La pièce était très grande, très blanche et stérile, et elle comportait plusieurs instruments de médecine très sophistiqués.

C'est alors qu'une femme habillé d'un long sarrau blanc, accompagné d'un lieutenant colonel. Surement pour être le témoin des faire de la scientifique. La dame s'approcha de Delwyn, lui prenant ses signe vitaux, tout était correct.

DAME • Tout est parfait ici.

L'homme qui l'accompagnait examina le corps de Delwyn d'une distance de quelques mètres, d'un regard sérieux, mais remplit de questionnement, comme s'il était intrigué par la jeune femme qui se trouvait sur cette table. Ce n'était pas la première fois qu'il rentrait dans cette pièce en compagnie des scientifiques, mais il ne pouvait pas s'empêcher d'être toujours aussi intrigué à cette vision à chaque fois.

LIEUTENANT • Est-ce que vous croyez qu'elle va se réveiller un jour ? Va-t-elle se souvenir de quoi que ce soit si c'est le cas ?

La dame perdit son sérieux et se mise à rire d'une tonalité ridicule, comme si elle se moquait de lui.

DAME • Vous vous moquez de moi j'espère ? Cette "chose" ne se réveillera jamais. Elle est maintenu artificiellement en vie. Cette "chose" est morte ! Normalement elle serait en mode de décomposition très avancé, mais grâce à ce qu'on lui injecte, son corps garde cette splendeur fraiche, comme si elle était toujours vivante.

L'homme eut un pincement au coeur et une colère lui monta soudainement à ces mots. Mais il réussit à se contenir et à ne pas éclater devant la dame.

LIEUTENANT • Cette femme n'est pas une "chose" comme vous le dites si ouvertement. Elle est aussi humaine que vous et moi, juste qu'elle a quelque chose de plus que nous...

DAME • Humaine ? Vous dites qu'elle est humaine ? Elle est loin d'être humaine mon Lieutenant ! Si pour vous, tuer des gens, des purs innocents c'est d'être humain comme vous dites, et bien, c'est votre choix. Nous n'avons pas la même définition d'humain. Oui je l'avoue que plusieurs commettent des crimes cruels et inimaginables, mais "elle", elle a été créé pour ça. Vous avez bien entendu ? "CRÉ-É"!

L'homme ne l'écoutait pratiquement plus. Il en était tanné d'entendre que ces choses cruelles qui sortaient de sa foutue bouche. Il avait presque envie de lui coller le bec avec de la super colle ou de la secouer longuement, mais il n'était pas comme ça. Il était trop gentlemen pour cela et aussi qu'il était beaucoup trop occupé à contempler la jeune femme, sa magnifique chevelure rousse, qui gardait malgré tout sa brillance flamboyante. Sa peau semblait si douce qu'il ne put s'empêcher de tendre la main pour vouloir l'effleurer tout doucement.

Mais c'est alors qu'une des machine lâcha un bruit sonore, ce qui le stoppa dans sa lancé et le fit sursauter. L'infirmière le poussa, alerté et remplie d'étonnement. Elle n'avait pas l'air de comprendre ce qui arrivait. Elle vérifiait la fameuse machine tout en cherchant le problème. Pour elle, c'était certainement un simple problème technique ou de batterie. Ce n'était surement pas ce qu'elle craignait le plus. Son regard se tourna rapidement vers la rouquine contre la table et fouilla dans sa poche pour en sortir une seringue contenant une substance bleue fluo. Le lieutenant passait son regard entre la rouquine et la seringue, ne sachant pas trop quoi faire, et c'est alors qu'il vit les paupières de Delwyn bouger. Il ne pouvait pas laisser cette infirmière lui injecter cette chose en elle.

LIEUTENANT • Ne faites pas ça !! Vous ne pouvez pas !! Elle vient de bouger les yeux. Vous ne voyez pas qu'elle est en train de revenir à ??

S'écria-t-il en se mettant entre elle et la belle en écartant les bras pour qu'elle n'ait aucun moyen de le contourner. De toute façon, elle aurait eut de la difficulté à lui écarter un bras, vu sa grandeur et sa force.

DAME • Laissez-moi passez bordel !! Vous ne comprendrez jamais ce que cela apporte qu'elle soit seulement dans un coma ??? En étant dans cette état, nous pouvons tout faire les tests qu'on veut sans même son consentement. Sachez qu'elle ne nous laisserait pas la vie facile.

LIEUTENANT • Comment ça elle ne vous fera pas la vie facile ? Vous avez qu'à simplement la relâcher.

DAME • La relâcher ? Vous pensez que c'est si simple ? Si je ne la pique pas, elle va se réveiller et tous nous tuer. C'est ce que vous voulez ??

Le regard de l'homme se rempli de haine à ses paroles.

LIEUTENANT • Vous venez de m'avouer que vous m'avez mentit sur toute la ligne !! Vous le saviez qu'elle allait se réveiller un jour, juste que vous essayez de l'empêcher. Si je comprend bien, ce n'est pas juste vous qui me le cachiez, tout le monde ici le cache si bien !

Pendant qu'ils se parlaient en se criant pratiquement après, ils ne se rendirent pas compte que Delwyn venait d'ouvrir les yeux et d'essayer de comprendre où elle se trouvait.

Delwyn Venisia Lambert venait de sortir de sont plus long sommeil, Blanche Neige pouvait bien allez se rhabiller. Les yeux grands ouverts, elle tentait de s'habituer à la forte lumière blanche qui régnait dans la pièce. Les deux voix lui vint tranquillement à ses oreilles, devenant de plus en plus fortes, vu la proximité. Doucement, elle leva le haut de son corps pour tenter de s'asseoir sur le bord de la table d'examen, dos au autres personne dans la pièce. La rouquine ne comprenait plus rien, elle ne savait pas où elle se trouvait et en plus, ces souvenir était extrêmement vague. Le seul souvenir qui lui revint à l'esprit, lui fit faire le geste le plus naturel qui soit, celui de mettre une main contre son ventre, comme si une jeune vie s'abritait en elle.

L'infirmière pencha la tête et son regard devenu stupéfait et remplit de terreur. Elle recula de quelques pas, fessant tomber sa seringue et une petite table rempli d'instruments chirurgicaux et tomba directement sur les fesses. L'homme ne comprenant pas ce qui se passa, il se retourna verre la jeune rouquine. Il remarqua rapidement le miracle. Delwyn venait de se lever et se tourner vers lui, totalement nu, regard apeuré et de rage posé sur lui. Choqué, elle agrippa la table et la fit valsé de l'autre côté de la table, laissant le passage pour s'avancer vers l'homme. Son instinct lui ordonnait de le pogner à la gorge, lui disant qu'il était ennemi, mais elle en était incapable. Son regard était posé dans celui de l'homme et ne pouvait s'en détacher. C'était comme s'il comprenait ce qu'elle ressentait à ce moment précis.
Mais c'est alors que des soldats armés rentrèrent dans la pièce, visant dans sa direction. Un plus haut gradé ordonna à l'homme devant elle de s'écarter, mais il ne broncha pas. Il avait beau le répéter, il resta devant elle, comme s'il voulait la protéger. Alors, ne se voyant pas le choix, il ordonna à deux de ses soldats de tirer. Une fois sur le lieutenant, qui tomba sur le sol immédiatement et la deuxième sur Delwyn, qui eut le temps de retirer le projectile. C'était une fléchette tranquillisante. Voyant qu'une seule ne suffisait pas, une autre soldat en tira une deuxième et cette fois, elle tomba inconsciente sur le sol, à côté du lieutenant. Elle tomba rapidement à nouveau dans le néant.
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Dim 06 Jan 2013, 11:57 pm
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CHAPTER 2 ... l'évacuation


Delwyn se réveilla en sursaut, les yeux grands ouvert et les sens aux aguets. Elle regarda tout autour d'elle et constata que tout avait à nouveau changé. Elle se trouvait maintenant dans une plus petite pièce, cette fois-ci, les murs était maintenant recouverts de revêtement cousiné, comme dans les pièces d'isolement des hôpitaux psychiatriques. Mais la couleur était la même, toujours aussi stérile et blanc. Cette fois-ci, elle était habillé d'un pantalon et camisole, eux aussi blancs.
Elle se sentait comme un animal en cage, ou comme une bête de foire, car à l'instant où elle regarda vers la seule petite fenêtre qui se trouvait dans cette pièce, elle vit les yeux d'une femme. La même qui se trouvait dans la pièce où elle s'était réveillé quelques heures plus tôt. Lorsque la rouquine s'approcha de la porte où se trouvait cette fameuse fenêtre, l'infirmière se sauva, comme si elle était apeurée par elle.

DELWYN • Tu fais bien de te sauver sale p*te !!

La tueuse se surprit elle-même d'avoir sortit un tel mot de sa bouche, elle qui normalement était une fille très bien élevée et de milieu respectable. Les Observateurs n'auraient pas trop apprécié que ce genre de mot sorte de cette si douce et magnifique bouche. Il faut dire que se tenir avec un vampire ne l'a pas vraiment aidé pour rester aussi sage qu'elle pouvait avoir été dans le passé.

Elle se colla à la porte, l’acérant presque le tissue qui recouvrait la porte de ses ongles. Elle tentait de voir à nouveau un visage pour lui lancer à nouveau des insulte, mais rien, personne.

DELWYN • Où est mon enfant ??

S'écria-t-elle.

DELWYN • Je veux mon enfant immédiatement !!!!

C'est alors qu'un homme se pointa devant elle. Ce n'était pas le même que tout à l'heure, il était plus vieux et décoré de plus de médailles.

HOMME • Je suis le Colonel Pratt. Et vous n'aurez pas votre enfant.

DELWYN • Pourquoi ??

Demanda-t-elle d'un ton haineux.

COLONEL PRATT • Car il en a jamais eut. Quand nous vous avons récupéré, vous étiez comme je vous vois en ce moment. Vous n'étiez pas enceinte et à la seule différence près que vous étiez morte. Avant que vous me le demandez, vous nous appartenez maintenant et vous êtes en quelque sorte notre spécimen #1 pour essayer de comprendre votre super pouvoir de Tueuse. Nous extrayons votre ADN et l'administrons à nos cobayes près à mourir pour aider notre pays. Si nous pouvons créer des soldats plus fort comme vous pour envoyer au front, cela nous avantagerait et on gagnerait toutes les guerres futures !

DELWYN • Vous êtes dégueulasse !! Je n'en crois pas mes yeux que vous puissiez m'utiliser de cette sorte pour vos fins militaire !! Je ne suis pas un robot ! Je suis tout aussi humaine que vous ! J'ai des sentiments ! J'ai une famille ...

Elle était sur le bord de fondre en larmes, mais elle tentait de rester le plus forte possible. Elle était prisonnière et la chose la plus important pour l'instant était de tenter de sortir d'ici.

COLONEL PRATT • Vous êtes loin d'être humaine, vous avez été créé pour détruire et combattre les force du mal, rien de plus.
Allez, reposez-vous. Nous avons besoin de vous en forme. Demain c'est un grand jour !

Dit-il en quittant aussi vite qu'il est arrivé.
Delwyn n'en revenait toujours pas. Aux yeux de tout les hommes sur Terre, elle et ses soeurs était que des montres créé pour détruire et pour être détruire ou étudié. Elle s'asseya sur son minuscule lit et réfléchissa à une façon de sortir de ce trou.


Quelques heures passèrent sans que quelqu'un viennent la voir ou lui apporter à boire et manger. Elle avait le ventre vide et n'avait rien mangé depuis qu'elle était sortit de son étrange coma. Mais alors que la porte s'ouvrit et se referma rapidement derrière l'intrus qui venait tout juste de rentrer.

HOMME • Il faut faire vite. Je risque ma carrière si on me prend à faire cela.

Dit-il en se retournant vers Delwyn qui le regardait avec crainte et étonnement.

DELWYN • Vous ? Pourquoi vous ne m'avez pas arrêtez tout à l'heure alors que vous en aviez la chance ?

Étrangement, elle s'avança doucement vers lui, comme s'il lui faisait pas peur. Elle ne pouvait s'empêcher de le regarder. C'était pareil pour lui. Il n'avait pas envie de répondre à ses questions, car lui même ne savait pas quoi y répondre.

LIEUTENANT • On doit faire vite. Un soldat passera dans dix minutes pour une ronde et s'assurer que vous êtes toujours là et s'il me voit avec vous, je risque gros.

DELWYN • Comment je peux savoir que je peux vous faire confiance ?

LIEUTENANT • Est-ce que ma parole vous suffit ? Je me nomme Owen Mills et futur ancien Lieutenant Colonel.

Il réouvra la porte pour vérifier qu'il n'y avait personne dans le couloir et avança de quelque pas tout en restant sur ses gardes et regardant de tout les côtés. Delwyn ne dit aucun mot et le suivit. S'il l'aidait, c'était surement pas pour lui faire du mal, du moins elle l'espérait. Elle sortit dans le couloir et le suivit en marche rapide vers un grand hangar qui était pratiquement vite et ne contenait que trois/quatre véhicule d'armés, dont un 4x4 où se dirigea immédiatement Owen. La rouquine le suivait à une bonne distance, mais elle vu rapidement retenu par un homme qui l'intercepta. Il était torse nu et paraissait plus large et musclé qu'Owen, comme s'il s'était bourré de stéroïdes à la puissance dix ! Delwyn le regarda de la tête aux pieds et comprit qu'il n'était pas ordinaire comme homme. Elle lui envoya son poing à la mâchoire et il broncha à peine, même qu'elle se blessa au lieu de ça. Terrifié, elle était pour crier à Owen, mais elle n'eut le temps de souffler un mot qu'il lui entoura la gorge d'un main et la plaqua au sol. Elle commençait à suffoquer, cet homme était plus fort qu'elle. Ce n'était pas normal, sauf s'il était l'un des cobayes... Son sang coulait en quelque sorte en lui et cela la dégoutait. Elle n'arrivait même plus à se débattre, car maintenant il la serra entre ses deux genoux et y avait mit son autre main autour de sa gorge serrant de plus en plus fort.
Owen, réalisant qu'il ne l'entendait plus, il se retourna et vit la scène. Alarmé, il sortit son arme et s'avança vers eux en visant l'homme qui agressait Delwyn.

OWEN • Lâches-là immédiatement !

Hurla-t-il, d'une rage si forte qu'il n'avait jamais ressentit cela. Mais l'homme ne lâcha pas sa victime, même qu'il y allait plus fort, tout en se mettant à rire par-dessus les bruits de suffocation de la rouquine. Elle devenait de plus en plus faible et cela le faisait carrément jouir.

OWEN • Je ne le répéterai pas !

Ajouta-t-il, et bien sur, il ne le répéta pas une deuxième fois. La balle partit si rapidement qu'il ne se souvenait même pas s'il avait appuyer sur la gâchette. La seule chose qu'il avait en tête en ce moment était de sauver Delwyn. C'était sa mission, celle qu'il s'était lui-même donné.
L'homme reçu la balle en pleine cervelle et s’écroula à côté de la belle qui cherchait maintenant son air tout en fondant en larmes. Elle avait faillit mourir... pour la deuxième fois. Tous ces souvenirs qu'elle avait totalement oublié lui étaient revenus un après l'autre. Elle avait revit sa vie entière en quelques secondes seulement. Elle ne pouvait s'arrêter de pleurer, c'était plus fort qu'elle. Owen accourra vers elle et l'asseya pour la serrer fortement dans ses bras pour tenter de la consoler. Il n'en revenait pas à quel point il s'était éprit d'elle en si peu de temps. Il ne la connaissait à peine. La seule chose qu'il connaissait d'elle c'était chaque parcelles de son corps. Sa pouvait paraitre obsédé, mais c'était la seule chose qu'il avait apprit à connaitre d'elle lorsqu'il la voyait.
Après un instant à la serrer, il s'écarta un peu pour voir son visage. Elle avait arrêté de sangloter et elle leva le regard vers le sien. Elle avait les yeux rouges et remplit de larmes, mais elle était toujours aussi belle. Il ne put s'empêcher de lui donner un baiser sur le front pour encore plus la réconforter.
Maintenant Delwyn savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Elle ne le connaissait que depuis quelques heures, mais c'était étrange comme relation qu'ils pouvaient déjà avoir. C'était comme si quelque chose les liait, sans savoir quoi. Mais leur intimité ne durera pas plus longtemps lorsque des soldats suivit du Colonel Pratt rentrèrent dans le hangar, les visant de leur armes. Owen s'empressa d'aider Delwyn à se relever et l'entrainer vers le 4x4 non loin.

COLONEL PRATT • Vous savez Lieutenant Mills que vous risquez gros en fessant cela. Vous savez tout comme moi qu'elle n'en vaut pas la peine de gâcher votre carrière. Elle vous brisera le coeur ou même vous l'arrachera.

Dit-il sans aucunes nervosité, le sourire au coin des lèvres.

OWEN • Pour vous, une vie n'en vaut pas la peine ? Elle en vaut la peine au contraire.

Au même moment, il poussa Deli à embarquer dans le véhicule et fit de même en prenant la place du conducteur tout en gardant le Colonel et les soldats dans son viseur de pistolet. Il ne voulait pas les perdre de vu et qu'il arrive quoi que ce soit à Delwyn. Étrangement, ils les laissa décoller sans problème et même quitter la base. Cela sentait les ennuis qui allaient prochainement arriver.

DELWYN • Où allons-nous maintenant ?

OWEN • Quelque part où tu seras en sécurité... du moins, je l'espère.
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Mar 08 Jan 2013, 11:29 pm
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CHAPTER 3 ... l'appelle de la liberté


Voilà maintenant deux jours qu'ils étaient en fuite et nul où se cacher. Ils étaient en sécurité nul part, surtout avec l'identité d'Owen qui les bloquait à s'arrêter prendre une chambre dans un motel. Il y avait surement des avis de recherche après lui et cela n'étonnait pas du tout Delwyn. C'était un homme de lois, il ne pouvait pas s'en sortir aussi facilement. Surtout qu'en plus de tout ça, il s'était sauvé avec l'un des spécimen les plus convoité de la base et des scientifiques.
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