WHEDONVERSE : TALES OF BUFFY

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Samantha Lucy Rose Hadler

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Samantha L. R. Hadler
Samantha L. R. Hadler
ÂGE : 33
ANNIVERSAIRE : 08/07/1990
DATE D'INSCRIPTION : 20/01/2013
MESSAGES : 110
Absence : Présence réduite
Dim 20 Jan 2013, 12:19 pm
Samantha L. R. Hadler
Samantha Lucy Rose Hadler


Attentive ✤ Trop sérieuse ✤ Forte ✤ Solitaire ✤ Intelligente ✤ Brisée ✤ Serviable ✤ Parfois un peu trop naïve



Je suis venue au monde le 15 avril 1990, dans les contrées de Londres, j'ai donc acquis 22 printemps. Dans la même veine, je peux vous dire que je suis anglaise et issue d'une classe sociale moyenne. On, comme qui dirait, ne choisis pas sa famille, n'est-ce pas ? Sinon, quoi dire d'autre ? Ah, ouais ! Je suis un(e) sorcière. Ce n'est pas pour me déplaire, je possède un joli éventail de capacités surnaturels ; comme la maîtrise de la magie et des sortilèges, et des tatouages occultes. L'incongruité de cette nature ne m'est pas problématique, je suis parvenue à me dégoter un emploi, vendeuse de tickets au sunciné, en dehors des cours. Cool, non ? Outre le job, je sais bien me fondre dans la société, si bien que les gens on cette fâcheuse manie de me confondre avec Emma Watson. C'est bizarre... vraiment bizarre.


HISTOIRE


2002, Westbury Field, Angleterre
Elle est là, assise sur le bord du trottoir, sous le lampadaire. Ses bras sont enroulés autour de ses genoux remontés sous son menton. Elle se balance, d’avant en arrière. Ses yeux sont fixés sur un point invisible. Ses cils accrochent les larmes mais elles refusent de rouler sur ses joues froides. Elle se balance. Elle a froid les pieds mais c’est à peine si elle s’en rend compte. Le vent balaie ses cheveux sur son visage. Elle cligne des yeux. Son souffle laisse une trainée blanche dans la nuit. Un peu plus loin. Elle est un peu plus loin. Sam grelotte. Le froid s’insinue sous ses vêtements pas assez épais. Mais celui, plus mordant, provient de ce corps sans vie à quelques pas de là. Elle ne comprend pas. Elle ne sait pas pourquoi. Veut-elle savoir ? Elle ne sait pas. Elle ne veut pas. Elle secoue la tête, sans s’arrêter. Un hoquet monte doucement dans sa gorge avant d’éclater comme une bulle de savon entre ses lèvres. Il fait mal. Si mal. Elle a l’impression que son cœur est en miettes. Sur ses poignets, des arabesques sombrent se dessinent, remontent vers ses doigts comme un gant de dentelle se cousant sur sa peau. Elle sait ce que c’est. Elles sont apparues quelques semaines plus tôt, près de son nombril, dessinant des motifs fascinants. Sa mère l’avait rassurée, aidée à comprendre. Maintenant… Un nouveau hoquet perce le silence de la nuit. Elle ne comprend pas. Pourquoi elle ? Pourquoi sa mère et pourquoi pas elle ? Il aurait pu. Si facile. Elle n’était qu’une enfant. Encore sans réel pouvoir, sans maîtrise. Il aurait pu… Il aurait pu. Comme il avait fait avec sa mère. Mais non. Pourquoi ? Pourquoi avait-elle survécu ? Pourquoi sa mère était-elle partie ? Un sanglot plus profond, plus fort que les autres émerge d’entre ses lèvres décolorées par le froid. Les larmes roulent finalement sur ses joues et leurs traînées se gèlent doucement.

Une main se pose sur son épaule. Elle sursaute et un cri silencieux s’échappe de sa gorge. Elle lève les yeux, cligne des paupières et son regard se focalise sur la personne à ses côtés. Elle semble si jeune et pourtant avoir vu tant de choses. Sam le sait rien qu’en voyant la profondeur de ses prunelles grises. L’autre s’agenouille près d’elle et lui murmure des mots de réconfort. Du moins, c’est ce que Samantha perçoit dans le ton, car son cerveau refuse de lui traduire les mots. Elle aperçoit du coin de l’œil d’autres femmes qui se regroupent plus loin. Là. Là-bas. Là où elle est. Non… Sa voix est à peine un murmure. Mais elle se lève finalement. Elle trébuche, ses membres et articulations sont douloureux de ne pas avoir bougé pendant si longtemps. Elle avance, comme un zombie de ces films qu’elle a vu avec ses amies, jusqu’au cercle de femmes. L’autre la suit de près. Elle le sent. Elle ne sait guère pourquoi. Elle s’en fiche en fait. Les autres ne s’écartent pas. Elle essaie de les repousser avec ses petites mains. Non ! Poussez-vous ! C’est ma maman ! Qu’est-ce que vous lui faites ?! Laissez-la tranquille ! Les femmes s’écartent et elle tombe à genoux près du corps sans vie de sa mère. Laissez-la… ! Ne la touchez pas… Vous allez… vous allez… … lui faire mal mais les mots ne sortent pas. Ses doigts se posent sur la joue froide de sa mère. Les larmes jaillissent alors de ses yeux, puissantes et dévastatrices. Elle s’écroule sur ce corps qui avait été sa mère, si pleine de vie et elle pleure, pleure jusqu’à ce qu’elle soit trop fatiguée pour pleurer encore, avec toutes ces femmes — ces sorcières — autour d’elle.

Samantha était assise en tailleur sur son lit, les yeux fermés. Cela faisait maintenant plusieurs mois, presque un an, qu’elle avait été recueillie par les sorcières de Westbury Field. Depuis, elle avait passé des jours à pleurer et à dormir, pour expulser son chagrin, ou du moins une partie de celui-ci. Elle prit une grande inspiration, la bloqua quelques instants avant d’expirer lentement. Elle pouvait sentir la terre, plusieurs mètres en contre-bas. Cette méditation lui avait permis de faire son deuil, petit à petit. La douleur était encore bien présente en elle et elle ne pensait pas qu’elle puisse la quitter un jour… mais après tout, c’était encore tout frais… Mais apprendre à maîtriser ses dons, à pratiquer la magie, ça l’aidait. Cela lui permettait de se concentrer sur autre chose, d’éviter à ses pensées de vagabonder jusqu’aux souvenirs de cette soirée néfaste. Il y avait bien assez des nuits et de ses cauchemars pour ça. Elle répétait son exercice de respiration une nouvelle fois quand des pas se firent entendre dans l’escalier jusqu’à la porte de sa chambre. En fait, elle la partageait avec une autre jeune sorcière, un peu plus vieille qu’elle. Sam ? Samantha ouvrit lentement les yeux et les posa sur sa camarade. Ça va être l’heure du thé.J’arrive tout de suite. L’autre hocha la tête et redescendit les marches. Il faisait beau aujourd’hui, et pas trop froid, on prendrait sûrement le thé sur la terrasse ou sous la véranda.

2010, Sunnydale, Etats-Unis
Samantha avait quitté l’Angleterre depuis deux ans déjà. Parce qu’elle voulait aller étudier aux Etats-Unis. Pourquoi alors que l’Angleterre possédait de superbes universités ? Et pourquoi Sunnydale en plus de ça ? Avec son université des plus potables mais pas des plus prestigieuses ? Déjà, Sam n’était pas non plus une élève des plus brillantes, ayant passé plus de temps à étudier la magie que les cours « conventionnels », alors une petite université lui conviendrait très bien. Et puis il y avait quelque chose dans cette ville. Elle le savait. Parce que les autres sorcières en parlaient, guettaient ce qu’il s’y passait comme si un cataclysme pouvait s’y dérouler à tout moment. D’ailleurs, il s’y passait des choses. Tellement de choses. Même Sam, qui savait que le plus noir pouvait avoir lieu, s’étonnait toujours de ce qu’il pouvait tomber sur la petite ville. Mais ce qu’elle ne savait pas, c’était que son arrivée en ville allait être bien plus bouleversante qu’une simple entrée à l’université. Quand elle avait déballé ses affaires en arrivant sur le campus, Samantha était tombée sur un très vieux livre. Elle s’était demandée ce que c’était. Ce n’était assurément pas l’un des grimoires qu’elle avait pu emmener avec elle. Il ne lui disait vraiment rien, à part peut-être qu’il émettait une étrange vibration quand elle l’effleurait du bout des doigts. Encore au milieu des cartons, Samantha s’était assise et avait ouvert délicatement la couverture. Une écriture serrée mais tout à fait lisible se dessinait sur les pages. La jeune femme avait froncé les sourcils alors qu’elle commençait à lire. Bientôt, elle découvrit que c’était le journal d’une de ses aïeules. Une qui avait vécu des siècles plus tôt. Quelqu’un avait mis le carnet dans ses cartons, mais qui ? Et pourquoi ?

Au bout de deux ans, Sam connaissait par cœur les lignes et les mots qui noircissaient le journal. Tout comme elle et sa mère, son arrière-grand-mère avait été une sorcière, et puissante, semblait-il. La jeune femme ne quittait pas ce recueil de souvenirs. A vrai dire, elle s’y était attachée comme une enfant à un doudou et elle relisait souvent certains passages. En plus de l’apprentissage qu’elle avait suivi auprès du cercle de sorcières de Westbury Field, ce carnet recelait de savoir dont elle ne connaissait rien. Des sorts plus puissants que ceux qu’elle avait appris… et des représentations des tatouages alambiqués qui ornaient la peau de son ancêtre… si semblables à ceux qui se dessinaient continuellement sur sa peau, changeant au grès de ses humeurs et de son état de santé, de sa puissance. Ce jour-là, Samantha s’était plongée dans ces pages jaunies parce que quelque chose n’allait pas. Elle ne se sentait pas très bien. Quelque chose commençait à la ronger de l’intérieur. C’était une étrange sensation. En prenant sa douche, le matin-même, elle suivit du doigt les tatouages qui s’étendaient sur son ventre. Ils s’étaient resserrés et semblaient plus durs, plus sauvages. Témoins et preuves que quelque chose n’allait pas. Mais quoi ? Elle restait perplexe.

Samantha était assise en tailleur sur son lit. C’était une habitude qu’elle prenait, chaque soir avant d’aller dormir. Elle méditait pendant plusieurs minutes. Ce soir-là pourtant, elle voulait essayer de faire appel à son pouvoir, pour faire une sorte de vérification. Un check-up. Sa compagne de chambrée n’était pas là. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle avait choisi ce soir-là. Les yeux fermés, elle visualisait cette boule lumineuse qu’était son pouvoir, logée dans son ventre, tout près de son nombril. Sa lumière oscillait doucement entre le doré presque blanc et le vert le plus clair. Elle força un peu plus sa concentration, tâtant de mains immatérielles cette boule d’énergie. Elle s’y prenait avec la plus grande prudence. Elle savait que, de l’autre côté de ses paupières fermées, ses tatouages reflétaient doucement la lueur de cette énergie mystique. Samantha insista un peu plus pour être sûre. Elle allait relâcher la pression quand un éclair d’un rouge sombre traversa la boule lumineuse. Juste une fraction de secondes mais la jeune sorcière l’avait vu se répercuter sur ses tatouages, l’avait senti. Elle relâcha la pression rapidement, peut-être un peu trop et ouvrit les yeux. Elle bondit sur son lit la seconde d’après en voyant dans le vase sur son bureau les fleurs s’enflammer subitement. Elle recula sur son lit, heurtant la fenêtre derrière elle quand le vase fragile éclata sous la chaleur des flammes. Samantha se mordilla la lèvre inférieure et se précipita pour verser de l’eau sur les flammes qui dansaient sur les morceaux de verre.

2012, Sunnydale, Etats-Unis

Samantha a changé de chambre. C’est mieux. Elle est seule maintenant. Elle ne voulait pas prendre le risque de mettre en danger sa compagne de chambre. Ni même de lui révéler qu’elle était sorcière. Ce n’était pas tant un secret qu’elle désirait protéger plus que tout, mais c’était un peu son jardin secret. Et elle ne voulait pas qu’on en abuse. Surtout pas maintenant alors que tout partait en vrille. Elle ne comprenait pas quelle était cette énergie qui noircissait la sienne, qui la rendait aussi sombre et visqueuse du sang. Peut-être cette Boca del Inferno qui dormait sous la ville. Sam ne voyait guère d’autre explication. Le mal qui régnait là tentait de pervertir sa magie, de la souiller. La jeune sorcière refusait que ça arrive. C’était hors de question. Elle voulait retrouver cette magie chaude et naturelle, pas quelque chose de perfide qui mettait le feu à ses fleurs. De plus en plus souvent, les « accidents » survenaient. C’était pour ça qu’elle avait changé de chambre. En partie grâce à un garçon qu’elle avait rencontré en cours de psychologie. Son iPod était tombé étrangement dans le sac du garçon et elle était venue le récupérer et avait appris que la chambre d’à côté était libre. Ça semblait être comme un don du ciel… même si ce n’était pas le genre de croyances de Sam. Elle s’était installée dans cette nouvelle pièce et, à chaque fois qu’elle avait un peu de temps, elle étudiait le journal de son aïeule pour trouver, dénicher, le moindre indice qui aurait pu lui dire s’il y avait un moyen d’arrêter tout cela. Tous les matins, elle guettait ses tatouages qui devenaient de plus en plus anguleux, durs, raides. Ils ne semblaient plus aussi délicats qu’au début. Et ils gagnaient du terrain. Elle percevait bien la force qui les accompagnait. Elle était mauvaise… mais plus puissante que sa magie dorée et verte. Puis un jour, elle mit le doigt sur quelque chose dont elle n’avait jamais vraiment fait attention. Sa arrière-grand-mère avait fréquenté une potentielle et son observatrice pendant de nombreuses années.

Vous demanderez sûrement pourquoi la Potentielle et pourquoi pas l’Observatrice ou son ancêtre de sorcière. Oui, la question serait finement posée. La réponse si simple. Du moins en partie. Jamais elle n’aurait pu ramener cette grand-mère… ou même sa mère. Jamais. Ça allait, dans un certain sens, à l’encontre de ces préceptes. Déjà, le sort qu’elle s’apprêtait à lancer n’était pas des plus naturels. Alors sur une sorcière qui avait juré fidélité à la Nature… Non. Samantha ne voulait pas pousser le bouchon aussi loin. Elle ne voulait pas lire la haine, la pitié et surtout la honte, dans les yeux de cette aïeule ou de sa mère. Elle ne voulait pas les affronter. Oh, elle aurait voulu revoir sa mère. Encore une fois. Pour qu’elle la serre dans ses bras, qu’elle la cajole, qu’elle la réconforte, qu’elle lui dise que tout irait bien, même si ce n’était pas vrai. Quant à l’Observatrice, Samantha craignait une réaction un peu similaire. La résurrection n’était pas naturelle, même quand la mort n’avait rien eu de naturelle. Bref. Non, dans son esprit, Samantha ne voyait que la Potentielle, têtue et bornée, qui ne lui en voudrait peut-être pas. Au final, rassemblez les ingrédients n’était pas si compliqué que ça… à part quelques uns qui étaient rares… mais rien d’impossible. Il suffisait juste de se concentrer pour le sort et de ne pas flancher. Elle ne doutait pas tellement de sa capacité à réussir un tel sortilège, que du fait que ses pouvoirs jouaient au yoyo sans arrêt.

Puis ce fut le grand soir. Oui, ce n’est pas vraiment un sort que l’on peut réaliser la journée n’est-ce pas ? Elle avait tous les ingrédients, dans cette chambre qu’elle ne partageait avec personne. Elle avait fait bien attention à tirer les rideaux, verrouiller la porte et même caler une chaise sous la poignée. Pour que rien n’entre. Pour que rien ne vienne la perturber. La seule entorse qu’elle s’était autorisée était la musique qu’elle avait mise un peu plus fort que la moyenne. Pour masquer de potentiels cris. Il ne faudrait pas que Morgan vienne fracasser sa porte en croyant qu’elle se fait manger par un grille-pain ensorcelé. Ça avait failli arriver une fois. Juste une. Assise au sol, entourée de bougies et d’encens et des autres ingrédients, Samantha ferma les yeux et localisa cette source d’énergie en elle. Ses tatouages se teintèrent d’une lueur d’un rose doré, preuve que la force rouge sombre l’envahissait peu à peu. Les paroles du sortilège franchirent ses lèvres. Encore et encore, elle répétait la mélopée, concentrée. Une rafale de vent froid la percuta et manqua de faire chuter quelques bougies. Elle n’arrêta pas. Des zébrures ensanglantées déchiraient ses tatouages qui montaient le long de ses bras, s’enroulaient autour de ses doigts, se glissaient sur son cuir chevelu. Une nouvelle bourrasque. Une bougie tombe mais elle n’ouvre pas les yeux, ne fait pas un geste pour la ramasser. Son visage est crispé par la douleur des entailles qui s’ouvrent sur son corps. Son souffle se fait haché, comme ses mots. Soudain, un hurlement s’échappe d’entre ses lèvres, à peine couvert par la musique. Ses yeux s’ouvrent et ils sont teintés de l’étrange lueur qui brûle en elle. Elle manque de se faire submerger par une vague de ténèbres. Elle reprend les mots du sortilège, même si elle doit s’arrêter pour reprendre son souffle. Elle a l’impression de se consumer de l’intérieur. De nouveau un hurlement s’arrache de sa gorge.
Puis tout est noir. Elle retombe légèrement en avant. Ses lèvres remuent encore, murmurant la formule, l’incantation.
Et son corps se braque, sa tête repoussée en arrière. Elle crie à nouveau. Un éclair d’un blanc étincelant traverse la chambre.
Puis plus rien. Elle tombe sur le côté. Les bougies se rallument doucement et diffuse une lueur ambrée dans la chambre.

Samantha ouvre les yeux. Sa vision est floue. Peu à peu, elle s’éclaircit. Un peu plus loin, au milieu des bougies renversées, se tient un corps nu. Mais ce qui la choque le plus, c’est ses mains. Ses bras nus. Ses cuisses nues. Une vague de peur s’engouffre en elle alors qu’elle soulève son tee-shirt pour observer son ventre. Là où, même si ses tatouages étaient réduits au minimum, il restait toujours un brin de dentelle près de son nombril. Mais dans la lueur des bougies, elle poussa un hoquet de stupeur. Il n’y avait plus rien. Plus rien nulle part. Des larmes s’échappèrent de ses yeux. Elle avait certes voulu trouver un moyen d’arrêter la magie maléfique… mais pas de cette façon. Elle avait déjà été épuisée après un sort… mais jamais au point d’en perdre toute trace sur son corps… Oh… Oups. Bien stupide comme réaction. D’autant qu’elle manquait de tomber dans les vapes. Elle avait du mal estimer la puissance nécessaire pour jeter le sort…


JE SUIS

Je m'appelle Alandrel et j'ai 22 ans. Je viens d’un trou paumé dans le Pas-de-Calais et j'ai connu le forum grâce Poison Ivy. Si j'avais un commentaire à faire ce serait le suivant : Ce forum a l’air sympa et puis Buffy *0*. Code de validation Welcome to the Hellmouth.


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*La pointe du doigt* Je tiens à dire que si je suis revenue à la vie, c'est de sa faute !

*Part en sautillant*

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Merci Madame ^^
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Oh je suis sage... enfin... "normalement".

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