Rencontre avec le paranomal ( Pv avec Roxanne)

John se dirigeait tranquillement vers l’université pour parler avec un jeune professeur qui avait des informations sur son passé. Il devait aller plus vite que « la rose noir », un nom étrange mais ne sachant pas qui ils sont, il leur avait donné ce nom-là. Il ne comprenait pas ce qu’on lui voulait ou plutôt pourquoi ont tué tous les gens autour de lui. Pourquoi on ne le tuait pas lui ? Apparemment l’homme ou la femme qui le traquait avait besoin de lui vivant mais sans souvenir sommes-nous encore vivant ? John ne se souvenait pas de son passé, tout été noir pour lui. Il vivait comme avec un manque en lui mais le manque de quoi ou peut-être même de qui ? Dure de n’avoir aucun souvenir de ses parents, pas le souvenir d’un visage ou d’une voix. Il alluma une cigarette c’est la seule chose qui lui faisait oublier sa propre vie merdique. Il arriva donc tranquillement sur sa moto, le ciel était étoilé et c’était une belle soirée. Il roulait vite, grillait quelque feu, il jouait avec la mort quelque fois, il n’avait pas peur de mourir, il avait vécu avec toute sa vie. Elle l’avait toujours entouré, encerclé, dominer. Une domination funeste qui sonnerait surement le glas de John tôt ou tard. Il ne connaissait pas vraiment la ville et il était un peu perdu.

*Pourquoi je n’ai pas acheté un foutu GPS sur cette moto ? Je suis détective privé, je suis censé savoir tous sur tous et je ne suis pas foutu de trouver mon put*** de chemin*

Notre protagoniste était toujours sur les nerfs à ce moment-là. « Rose noir » était plus rapide que lui, à chaque fois il arrivait avant. Mais était-il seul ou était-il un groupe ethnique ? John ne savait rien sur sa propre vie, une vie perdu par un passé oublié. Il arriva soudain dans l’université, il été discret, si on le voyait en pleine nuit il attirerait l’attention et quand la mort te cherche mieux vaut ne pas aguicher ses disciples. Il arriva soudain prêt du campus quand soudain un cri de femme se faisait entendre et soudain « Rose noir » était là, il venait d’égorger la pauvre femme, qu’avait –il à vouloir à ce point empêcher la découverte de son passé. L’homme prit la fuite et pars réflexe humain, il se mit à genoux essayant de sauver la pauvre jeune femme « La rose noir est un bouquet » se contenta-t-elle de dire avant de mourir. Il se releva et sa chemise était salie par le sang de la jeune femme. Super, si un étudiant lui tombe dessus et qu’il est un peu bête, il comparera Chuck à je ne sais quel tueur d’une légende urbaine. Il faisait une enquête, la seule chose qu’il savait aussi c’est que son passé était caché ici. Il ne devait pas être vu.

Il s’agenouilla à un arbre, il était encore arrivé trop tard. Encore une fois, un indice de sa vie tombé dans l’oubli. Une détective morte qu’il ne pouvait même pas enterrer. Il se fatiguait de ne jamais trouvé un indice. Il se demandait ce que devenait Paige, la seule personne qui lui restait en ce monde. Il donnerait sa propre vie pour qu’elle vive la sienne mais bon il ne la voyait plus trop récemment, que devenait-elle ? Il ne savait même pas si elle allait bien et il s’en voulait pour ça. Il ralluma une autre cigarette, c’était un grand fumeur qui ne pouvait plus rêver, le même cauchemar dès qu’il fermait les yeux. Il le voyait quand il fermait les yeux, du sang et des cris parfois de quelqu’un d’autre. Il ne comprenait rien à ce qui se passait ici, certains évoquer le paranormal mais tout le monde savait bien que cela n’existait pas. C’est une invention, un moyen d’envoyer le poupon se couchait ou alimenter l’imaginaire cinématographique. Il retourna au campus afin de pouvoir s’enfuir mais il sentit soudain une présence et il dégaina son P39, il enleva le cran de sureté prêt à faire feu si on l’attaque. Il n’a pas peur de donner la mort, il vit avec et autour d’elle. Soudain il entendit du bruit vers le campus et rengaina son arme avant d’aller voir ce qui pouvait bien se passer là-bas. Il vit une femme et il la regardait sans réagir, que faisait-elle seule dans le noir ? Question un peu idiote car elle pourrait poser la même. Il se contenta d’écraser sa clope au sol et de dire simplement :

Mademoiselle c’est dangereux ici. Vous pourriez vous faire tuer, une demoiselle seule dans une nuit noire, vous ne devriez pas rester ici et retourner dans vos dortoirs. Ne cherchez pas à savoir qui je suis, je suis enquêteur voilà tout. Si vous voulez je vous ramène, vous pourriez tomber sur un violeur ou un salopard qui irait vous chercher des noix. Vous n’avez rien entendu de suspect il y a à peu prêt une heure ?


Si seulement il savait qu’elle pourrait le tuer en deux temps et trois mouvements. Elle était le surnaturel qu’il ne connaissait pas. Là où lui voyait une douce innocence, elle était un vampire en cours de mutation ou peut-être déjà muté qui le sait vraiment. Il s’approcha de la jeune femme comme pour l’aider à retourner chez elle où plutôt là où elle vivait.