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Moment de détente après un gros entrainement (Pv Maria Miller)

Kennedy
Kennedy
ÂGE : 35
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Lun 08 Oct 2012, 5:17 pm
Kennedy
Parfois le hasard faisait bien les choses. C’était l’un des côtés positifs de la vie. La rencontre entre deux personnes pouvait se révéler déterminante pour les deux individus et beaucoup plus importante qu’ils ne le penseraient au début.
Un soir, durant l’année où Sunnydale vécut une année difficile où la ville était envahie par les zombie, une jeune potentielle, Maria Miller, était en mauvaise posture face à un groupe de morts vivants. Heureusement, l’une des tueuse en activité, Kennedy, l’avait sorti d’affaire en anéantissant les créatures maléfiques avec plus de facilité que la plus jeune. Admirative, Maria avait fini par demander à son ainée si elle pouvait lui fournir quelques entrainements en combat rapproché, après s‘être présentée en tant que potentielle. La tueuse était toujours partante pour donner un coup de main pour entrainer ses « sœurs d’armes », oui sœur d’armes parce que même si les potentielles n’étaient pas encore des tueuses, elles avaient la même mission, le même but, le même destin. Ce qui distinguait une potentielle d’une tueuse, c’était au fond les responsabilités et les décisions à prendre. Une tueuse devait prendre en considération tout cela alors qu’une potentielle se contentait de se battre sans pouvoir spécial. Elles attendaient de recevoir ces fameux pouvoirs de tueuse, signe qu’une des tueuses actuelles était morte et qu‘il fallait la remplacer.

Ainsi donc Kennedy et Maria avaient convenu d’d’heures d’entrainement durant le temps libre de la potentielle. Il y avait du boulot parce que la plus jeune avait vraiment un niveau faible en combat rapproché. Mais Maria avait de la volonté et elle était déterminée, ce qui plaisait à Kennedy. Ça facilitait les choses et ça permettait une évolution plus rapide de la potentielle. Cette dernière en voulait, donnait son maximum et c’était tant mieux. Les deux filles se ressemblaient sous certains aspects, ce qui leur permettait de bien s’entendre. Les entrainements étaient rudes mais les demoiselles avançaient bien. Au bout d’une année, Maria s’était vraiment bien améliorée et pouvait mettre parfois Kennedy en difficulté avec certains coups bien placé. Un soir, dans la cave de chez la tueuse, transformée en salle d’entrainement, l’entrainement était assez soutenue. Les deux filles s’affrontaient dans un petit combat en face en face. Maria se défendait très bien et la plus âgée retenait moins les coups qu’auparavant. Au bout d’un moment, alors que les deux filles ruisselantes de sueurs commençaient à fatiguer, Kennedy envoya un malencontreux puissant coup de poing dans la figure de la potentielle qui fut propulsée en arrière et qui se cogna contre un mur, et finit quelque peu sonnée. Il était temps de faire une pause. La tueuse s’approcha rapidement de son amie pour s’assurer que rien de grave ne lui était arrivé et l’aida à se relever doucement.

« Je suis désolée. Dans le feu de l’action, j’y suis allée un peu fort…On va retourner à l’appartement. Tu as besoin de soins et de repos… »


Kennedy aida la potentielle à se tenir debout en la tenant par les épaules. Les deux femmes rejoignirent l’appartement doucement. Heureusement qu’il y avait un ascenseur. Ça facilitait les choses. Très vite, les demoiselles entrèrent dans l’appartement et la tueuse guida la potentielle vers le canapé pour l’y faire assoir.

« Juste un instant, je vais prendre le nécessaire pour te soigner. Mets-toi à ton aise. »


Et Kennedy partit dans la salle de bain pour récupérer assez vite diverses choses, des cotons, des produits et des pansements. Elle prit un petit sac de glace dans son congélateur puis elle revint voir sa petite protégée. Elle posa ses affaires sur la table basse avant de s’assoir à côté de Maria et préparer le matériel

« C’était un sacré entrainement…Tu as fais d’énormes progrès, je suis assez fière de toi…"

La tueuse sourit franchement. Puis elle tendit le sac de glace à Maria pour que cette dernière pose l’objet froid sur son visage.

« Tiens ! Gardes appuyé la glace au niveau du mauvais coup que je t‘ai porté»

Puis elle mit du désinfectant sur du coton et s’apprêta à poser le dit coton sur une vilaine blessure, sur l’épaule de la potentielle.

« Attention, ça va piquer un peu… »



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Maria Miller
Maria Miller
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Dim 14 Oct 2012, 8:24 pm
Maria Miller



Moment de détente après un gros entrainement (Pv Maria Miller) Iyari_Limon_in_Buffy_the_Vampire_Slayer_Season_07_(64) Moment de détente après un gros entrainement (Pv Maria Miller) 04

Moment de détente


après un gros entrainement.


ft. Kennedy & Maria Miller



Progresser et apprendre. …
Depuis plusieurs mois, ces quelques mots étaient devenus la devise de Maria. Dès l’instant où elle avait réalisé la profondeur du gouffre qui la séparait de ses amis, la jeune femme avait décidée d’essayer de devenir meilleure. De faire une chose qui auparavant l’ennuyait profondément et que même au lycée, elle n’avait jamais faite. Etudier assidument !
La potentielle avait alors dévorée chacun des livres qui avait put tomber entre ses mains, tenté de s’entrainer au combat, essayé de progresser du mieux qu’il lui était possible. Malheureusement, avec des résultats assez mitigés.
Et puis, Kennedy était arrivé. … Ou plutôt, l’avait sauvée d’une fin atroce !
Car, sans la Tueuse, aujourd’hui, elle serait morte. Littéralement dévorée, dépecée, par une horde de zombie. Et c’est avec une facilité déconcertante, que cette dernière l’avait sortie de ce guêpier avant d’accepter de la prendre sous son aile.

Pourquoi Maria avait demandé une chose pareille à ce qui était encore pour elle, une parfaite inconnue ? Tout simplement, parce qu’elle avait réellement besoin de conseils et qu’une Tueuse serait un prof idéal. Parce qu’elle avait été impressionnée par l’aisance et la technique de la jeune femme. Parce qu’elle avait l’étrange impression que Kennedy dansait au milieu de ses adversaires et qu’à chacun de ses mouvements, l’un de ces horribles monstres disparaissait. Et enfin, parce que quelque chose en l’Elue, dans son regard, l’avait profondément touchée.
En cet instant, la potentielle était certaine d’ avoir fait le bon choix. …

Même si, plus tard, elle aurait put le regretter ! …
Kennedy était un instructeur extrêmement exigeant, qui ne laissait rien passer. Et qui régulièrement, la rappelait à l’ordre pour son manque de concentration.
Maria ne comptait plus les fois où violemment, elle s’était retrouvée face contre terre. Ni celles où elle était rentrée à son appartement, couvertes d’ecchymoses.
La différence de niveau entre les deux femmes étaient si grande, si énorme, … que souvent, la potentielle eut la désagréable impression qu’elle ne pourrait jamais faire autre chose que de se retrouver plaquée au sol, vaincue. Qu’elle n’était finalement qu’un simple jouet entre les mains de la Tueuse. Mais, elle n’avait pas cédée ! Elle s’était accrochée !

Serrant les dents, Maria s’était à chaque fois relevée. Se faire entraîner par Kennedy était un avantage que beaucoup de potentielle rêverait d’avoir. Et ce « cadeau », il était pour elle !
Mois après mois, Maria avait progressée à pas de géant, apprenant tout ce que la jeune Tueuse voulait bien lui montrer.
Et en même temps que ses capacités physiques augmentaient, la relation qui la liait à cette dernière avait aussi évoluée. Si au début, elle ne voyait en Kennedy qu’une prof plutôt mignonne ; cela n’était plus vrai aujourd’hui. D’entrainements en entrainements, Maria avait appris à l’apprécier, à la voir comme une amie. Et à attendre leurs rendez-vous, avec une certaine impatience.

Une année était très vite passée, et comme de nombreuses fois auparavant, les deux brunes se livraient un petit match amical. Un combat fraternel.
Haletante, la potentielle tournait autour de son amie, cherchant une ouverture, une faille dans la défense adverse. Elle avait reçut plusieurs mauvais coups mais, avait aussi réussit à en placer quelque uns. Jusqu’ici, Maria n’avait jamais put gagner contre Kennedy. Son amie était bien trop forte, trop rapide, trop expérimentée. … Mais ce soir, elle tenait peut-être sa chance !
Jamais, elle ne s’était sentie aussi en forme. Rarement, elle s’était battue aussi bien. Si elle continuait à tout donner. Si elle continuait à la harceler de coups. Ça pourrait fort bien être Kennedy qui, ce soir, se retrouverait plaquée contre le sol et immobilisée. … Oui, ce soir, … peut-être … qu’elle gagnerait !
C’est alors qu’un coup de poing la frappa en plein visage, et l’envoya valser violement contre le mur de la salle d’entrainement. Comme une marionnette à qui l’ont aurait coupé les fils, Maria s’écroula pitoyablement sur le sol, le souffle coupé par sa rencontre avec la paroi en bêton.
Le combat était finit et une fois encore, … elle avait perdue !
Le crochet du droit de Kennedy avait été si soudain, que la potentielle n’eut même pas le temps d’esquisser un geste. Et si puissant, que cette dernière eut l’impression que sa tête allait se détacher de ses épaules. En un seul coup, Maria venait de réapprendre qu’il ne fallait jamais sous-estimer une Tueuse.

La jeune femme, à moitié groggy, leva la tête vers son amie et lutta pour ne pas s’évanouir. Sa vision était floue et elle avait l’étrange impression que la pièce entière tournait autour d’elle.
Cette dernière ne pouvait plus le nier, maintenant. … Kennedy avait vraiment un sacré punch !
-Je suis désolée. Dans le feu de l’action, j’y suis allée un peu fort…On va retourner à l’appartement. Tu as besoin de soins et de repos…, proposa la Tueuse.
Ses jambes ne la soutenant plus, Maria accepta volontiers l’aide de son amie. Et dans le même temps, lui lança un léger sourire qui voulait dire quelque chose dans le genre de : « Il a encore fallut que tu gagnes, hein ! ».
En toute confiance, Maria passa son bras autour des épaules de Kennedy et s’appuya sur elle jusqu’à ce qu’elles atteignent l’appartement. Heureusement que l’immeuble possédait un ascenseur, parce que la petite brune se voyait mal monter tout ces escaliers avec la tête qui lui tournait encore.
Doucement, elle s’assit sur le canapé et accompagna du regard l’Elue qui quittait la pièce.
-Juste un instant, je vais prendre le nécessaire pour te soigner. Mets-toi à ton aise.
La Tueuse était peut-être capable de propulser, sans effort apparent, un démon ou une potentielle quelconque au travers d’une pièce mais, c’était aussi une personne douce sur laquelle on pouvait compter. Et Maria, adorait vraiment cette facette de sa personnalité.
-Merci. … Mais, faut pas t’inquiéter comme ça pour moi. J’suis plus solide qu’il n’y parait ! Répondit-elle après avoir laissé passer quelques secondes.
Mais c’était peine perdue, Kennedy était déjà dans la salle de bain à la recherche de différents produits et, elle n’avait sûrement rien entendue.
Tout en soupirant, la potentielle ferma les yeux et frotta sa mâchoire douloureuse. Sa tête ne lui tournait plus maintenant, c’était déjà pas si mal !

Maria se redressa légèrement lorsque la Tueuse revint dans la pièce, et la regarda poser tout son matériel sur la table basse.
- C’était un sacré entrainement…Tu as fais d’énormes progrès, je suis assez fière de toi… . Lança l’Elue, tout en souriant.
Surprise par ces compliments soudains, la jeune potentielle rougit avant de sourire à son tour.
-Heu, … mer… merci ! … Mais, c’est facile de s’améliorer quand on a un aussi bon professeur ! Balbutia-t-elle légèrement.
Toujours en souriant, elle se saisit du sac de glace que lui tendait Kennedy, et le plaqua contre sa joue. Le froid des glaçons soulageant presque instantanément sa douleur, Maria se détendit. Pendant ce temps, l’Elue avait préparée un morceau de coton imbibé d’alcool afin de s’occuper des autres blessures de son élève.
-Attention, ça va piquer un peu… . Lui précisa cette dernière avant de s’atteler à la tache.
Maria fixa les mains de la Tueuse. … Ses mains qui l’avaient maltraitée. Qui lui avaient infligées toutes ses blessures. Et qui, maintenant, s’attelaient à la soulager. Qui se faisaient d’un seul coup, si douces.
Par fierté, et à cause de l’entrainement qu’elle avait subit tout au long de cette année, la petite brune faillit refuser cet aide au dernier moment. Kennedy lui avait appris à se battre, à résister, à être forte. A assumer son statut de potentielle ! … Et aucune de ces Tueuses en devenir n’irait se faire chouchouter et raccommoder après un simple petit combat !
Mais pour une raison qu’elle ne comprenait pas encore, Maria n’avait pas envie de se lever de ce fichu canapé. Elle voulait rester là, à profiter des sourires et de la gentillesse de son professeur particulier.
-C’est pas grave, vas-y franco ! Lui répondit-elle, avant d’ajouter avec un léger sourire. … … Tueuse, formateur de potentielles, et maintenant infirmière ! Y-a-t-il vraiment quelque chose que tu ne saches pas faire ?


© disturbed




HJ: J'espère que ce texte correspondra à tes attentes, ma pt'ite Kenny ! Smile ... Mais, s'il y a un souci, t'hésites pas à le dire, hein ! 002


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Kennedy
Kennedy
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Mer 14 Nov 2012, 6:47 pm
Kennedy
Kennedy appréciait ces quelques soirées par semaines durant lesquelles elle formait Maria au combat à mains nues. C’était un rendez-vous important qu’elle ne manquait sous aucun prétexte. Même malade, elle serait capable d’entrainer la demoiselle, si elle était sûre de ne pas la faire tomber malade en retour. De toute manière, la brunette tombait rarement malade, ou elle se rétablissait assez rapidement…La tueuse était toujours partante pour enseigner ce qu’elle savait à d’autres potentielles. Mais celle dont elle s’occupait depuis un petit moment déjà se donnait à fond et cela payait. Ses progrès étaient flagrants à son niveau, mois après mois… L’Elue savait qu’elle avait fait le bon choix en acceptant de la prendre sous son aile. Elle s’apercevait qu’elle ne perdait pas son temps. La motivation, la jeune hôtesse d’accueil en avait à revendre. Pour supporter Kennedy en mode petit chef lui en demandant toujours plus à chaque séance, et ne pas craindre les blessures à répétition, il en fallait. En même temps une potentielle ayant peur de se blesser ou de se casser un ongle, dans un sens, autant qu’elle se jette dans la gueule du loup directement. C’était triste, mais son cas était presque perdu d’avance. De toute manière, elle se fera très vite dévorer. Les vampires ne vont pas chercher à compliquer leur vie. S’ils sentent un élément faible parmi un groupe de personnes, ils vont choisir le plus faible en premier. C’est la loi de la nature….

Au bout d’un an, Maria était encore présente et avait terminé sonnée par un méchant coup de poing ce soir là.
D’ordinaire la tueuse restait dans son rôle d’ « instructrice » quoiqu’il puisse arriver. Elle faisait généralement redémarrer le combat lorsqu’elle remarquait que son «élève » n’avait pas de blessures graves, quitte à attendre quelques minutes qu’elle fasse une pause dans la cave avant de reprendre. Mais cette fois ci, le fameux coup, en même temps qu’atteindre le joli visage de la demoiselle aux yeux clairs, avait réussi à faire une belle fissure dans la bulle dans laquelle s’était mise Kennedy. Cette bulle dans laquelle elle se plaçait à chaque entrainement pour rester dans son rôle de prof particulier. Éviter de se montrer amicale durant les quelques heures lui paraissait important afin d’éviter de purs moments récréatifs. Ça ralentirait leur travail et déstabiliserait la plus âgée. Oui cela la déstabiliserait parce que depuis leur première rencontre, la jeune tueuse avait remarqué la potentielle. Pas au moment même du sauvetage, parce que justement elle lui portait secours. Elle avait donc les yeux plus rivés sur la bande de zombies détraqués qui allaient manger la potentielle toute crue que sur la jeune fille en détresse elle-même. Mais lorsque le calme s’était établi dans le cimetière, lorsque tout danger avait disparu, la tueuse avait enfin pu détailler celle qu’elle venait de sauver. Une demoiselle pas très grande, aux longs cheveux bruns et des yeux d’un bleu très clair, bien visible malgré la faible luminosité des lieux. Des yeux qui ont dû faire tourner la tête de plus d’un homme - et très certainement de plus d’une femme. En tout cas, malgré que la situation ne soit pas la meilleure pour penser à ça, Kennedy s’était mise à regretter de se retrouver dans un cimetière pour la rencontre. N’importe quel bar ou le Bronze aurait fait l’affaire. Même une rue en plein centre-ville…Mais un cimetière, non ! Après elle ne comptait pas sortir le grand jeu tout de suite non plus. Ce n’était pas sa technique de séduction. Puis sa séparation d’avec Willow était toute récente et il était trop tôt pour qu’une relation amoureuse renaisse chez l’Elue. Mais ça ne l’empêchait pas de zieuter et tenter une approche. Ça n’engageait à rien et puis comme on dit : « on a des yeux, c’est pour s’en servir ». C’était les bons côtés d’être une tueuse, quand le sauvetage se terminait bien. Et ne criez pas au scandale, les autres tueuses actives font de même lorsqu’elles sauvent des hommes, mais si ces derniers vont parfois avoir du mal à accepter de s’être fait sauver par une fille….Enfin bref…

Retour dans le salon de la tueuse lorsqu’elle revenait de la salle de bain avec de quoi soigner sa protégée. Après son compliment, la potentielle renvoya un compliment de manière détournée qui fit plaisir à Kennedy plus qu’elle ne l’aurait cru. Mais elle se devait de rester humble –si si c’est possible chez elle je vous assure-compte tenu des nombreuses tueuses actives.

« Si on oublie le fait que t’as demandé à la personne qui t’as sauvé la vie de t’entrainer, je pense que d’autres tueuses auraient fait le boulot aussi bien que moi, voire mieux …Mais puisqu’on en est à se complimenter…
Je ne serais peut-être pas donné autant à fond si je n’avais pas eu une jolie demoiselle très volontaire durant les séances d’entrainements qui tenait bon malgré les nombreux obstacles que je lui ai dressés sur la route. »


Kennedy avait guetté la réaction de la potentielle quelques secondes, après avoir prononcé ces paroles. Elle avait décidé d’une trêve de l’entrainement pour la soirée. Du moins elle stoppait les entrainements quand elle estimait qu’il était temps que chacune rentre chez elle. Mais là, elle avait plutôt envie de passer un nomment tranquille et puis de s’occuper de ces blessures. Après tout, c’était elle qui lui avait infligé ça… D'ordinaire, elle se faisait moins de soucis pour des blessures pareils. Il y avait pire. Là, ce n’était que de petits bobos. Mais ce soir-là, elle avait envie de prendre soin de Maria…

La tueuse allait utiliser l’alcool mais déposa finalement son coton imbibé d’alcool pour se lever et partir de nouveau dans la salle de bain. Elle revient très vite avec un torchon humide et savonneux. Elle se rassit sur le canapé et s’occupa de nettoyer les blessures de son amie avec précaution. Ainsi elle passa le tissu sur le visage de la possible future tueuse, pour continuer par nettoyer des plaies sur ses épaules, ses bras et ses mains. Il restait un endroit. Pour atteindre la zone en question, elle se leva et fit le tour du canapé pour se retrouver derrière le meuble et derrière la potentielle, du coup.

« Bouges pas »

Elle se servit de sa mémoire pour se rappeler comment miss Miller s’était cogné contre la paroi de la cave. Puis, en cherchant un peu en tâtonnant avec ses deux mains au niveau du cuir chevelu de la brunette, Kennedy finit par trouver la zone de la blessure. Elle passa alors le tissu pour nettoyer un peu la zone, laissant d’une manière faussement innocente ses mains trainer dans la longue chevelure de la demoiselle, avant de se retirer pour rincer la serviette, enfin de rincer aussi les zones nettoyées. Mais cette fois ci, l’Elue fut plus rapide. Une fois tout nettoyé, elle reprit du coton sur lequel elle mit de l’antiseptique, et sous le « vas y franco » de Maria, elle passa le coton aux différentes zones des blessures. Elle faisait attention, mais fut encore une fois rapide. La potentielle en profita pour lui poser une question pour savoir s’il y avait quelque chose qu’elle ne savait pas faire. La plus âgée avait bien une idée, mais elle ne savait pas si elle devait le sortir. Puis après réflexion, durant le laps de temps où elle posait les pansements, elle lâcha d’un ton neutre:

« Réussir à garder quelqu’un dans ma vie, ça serait bien… »

Puis sentant le banc qu’elle avait créé avec cette réponse, elle rajouta vite :

« Mais c’est le cas d’une bonne partie de la population. Faut faire avec et espérer que la roue tourne un jour… »


Puis elle finit par se lever de nouveau pour ranger le bazar qu’elle avait mis sur sa table basse. Elle n’aimait pas s’éteindre sur ses problèmes. C’est pourquoi elle abrégea le sujet de la conversation en passant à autre chose. Après avoir jeté certaines choses et ramené des affaires dans la salle de bain, et revint dans le salon pour rejoindre la cuisine américaine donnant sur la pièce :

« Tu veux boire quelque chose sinon ? J’ai du soda, des jus de fruit, de l’alcool… »

Elle prit un plateau, déposa deux verres puis les boissons choisies avant de retourner vers Maria. Elle plaça le plateau sur la table basse et s’assit enfin. Elle servit son invitée et s’assit plus confortablement à sa place, en s’accoudant au dossier. Puis elle fixa de ses yeux sombres la potentielle :

« Alors Maria, parles moi de toi, de ce que tu veux, tant que ça te concerne. »

Elle attendit sa réponse, un léger sourire aux lèvres. Allait-t-elle récolter beaucoup de choses de la potentielle ?


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Jeu 20 Déc 2012, 7:20 pm
Maria Miller



Moment de détente après un gros entrainement (Pv Maria Miller) Iyari_Limon_in_Buffy_the_Vampire_Slayer_Season_07_(64) Moment de détente après un gros entrainement (Pv Maria Miller) 04

Moment de détente


après un gros entrainement.


ft. Kennedy & Maria Miller



Ce regard chargé de tendresse. Ce petit mordillement de lèvre que faisait la Tueuse tout en cherchant, un coton imbibé d’alcool à la main, par où commencer à prodiguer ses soins. Ce visage angélique. … … Non, Maria n’arrivait plus à s’empêcher de regarder Kennedy. A s’empêcher de l’observer. … Ou plutôt, de l’admirer. Pour elle, le monde ne se résumait plus alors qu’à ce divan, elle-même et l’Elue. Souhaitant même, inconsciemment, que le temps s’arrête. … Pour ne pas avoir à mettre fin à ce rêve. Pour ne pas voir cette intimité brisée. … Pour ne plus avoir à se lever de ce canapé. De cet endroit, où elle se sentait enfin en paix avec elle-même. Avec le monde.

Et pourtant, si doux fut-il, ce fantasme ne perdura pas. Insouciante à ce qui se passait dans la tête de sa petite protégée, Kennedy abandonna l’idée du coton et partit une nouvelle fois dans la salle de bain. Brisant ainsi l’illusion et ramenant du même coup Maria, à la dure réalité. Mais, lui permettant aussi de méditer un instant sur ce qu’il venait de se passer.

En vérité, ce n’était pas la première fois que la potentielle avait eut une pulsion de ce genre envers la brune. Progressivement, au fil des jours, elle avait vue son estime, son amitié mais aussi son admiration, se multiplier pour elle.
Toutefois, jusqu’ici, ce n’était justement que des pulsions. C'est-à-dire une envie soudaine et irréfléchie, mais qui ne perdurait pas forcément dans le temps. Maria arrivant assez régulièrement à se raisonner, à se dire d’arrêter de se faire des films. Et, à reprendre un semblant de vie normale.

Puis, il y avait exactement trois jours, tout avait changé. … Kennedy lui avait sourit. Un sourire des plus banals. Un sourire ordinaire. … Mais, un sourire de trop. Et à partir de cet instant, Maria n’avait plus été propriétaire de son cœur.
Chaque rencontre était alors devenue, une source de joie. Chaque patrouille sans elle, devenait plus ennuyeuse, plus terne. Chaque nuit, chaque rêve, lui offrait un voyage éphémère dans un monde où la Tueuse était sienne.
Et pourtant, la jeune femme n’était toujours pas certaine de ses sentiments. Mettant ça, sous le compte d’un désir … simplement charnel. De l’envie d’avoir quelqu’un dans son lit, et pas forcément dans son cœur. … … Bref, elle se croyait tout simplement en manque de sexe.
C’était parfaitement plausible, après tout ! Elle le savait, elle l’avait déjà fait ! Il y a deux ans, une pom-pom girl l’avait attiré dans ses filets et, lui avait montré à de nombreuses reprises qu’il était possible de prendre du bon temps sans pour autant, éprouver de réels sentiments.
Et jusqu’à ces dernières secondes, elle était vraiment persuadée qu’il ne s’agissait que de ça. … Oui, jusqu’à ce que son propre cœur ne vienne susurrer à son oreille cette vérité éclatante : Oh, Kennedy ! Si tu savais comme je t’aime !!

Bon ok, d’accord. Elle l’aimait ! … Mais, ça ne voulait pas dire pour autant qu’elle devait le crier sur les toits. La Tueuse était son amie. Et, mélanger amour et amitié n’aboutissait jamais à quelque chose de sain ! Le mieux pour l’instant, ce serait donc de faire comme si de rien n’était. Ce qui, ne devrait pas être si compliqué après tout. Tout ce qu’il fallait, c’était éviter les phrases ou situations un peu ambigüe.

Revenant de la salle de bain, Kennedy s’installa à nouveau face à la potentielle et à l’aide d’un linge humide, commença à nettoyer le visage ainsi que les bras de son amie. Bon, d’accord, pour ce qui est d’éviter les situations équivoques, ça semblait d’ores et déjà raté.
Instinctivement, Maria ferma les yeux. Savourant la douce chaleur de ces mains ainsi, que le sentiment de paix et de sécurité que ces dernières lui procuraient.
Oh, bon sang, Kennedy ! Mais, qu’es-tu en train de faire ?! … Te souvenait-tu seulement qu’elle n’était qu’une jeune potentielle ? Une bébé-Tueuse ! … … Aurais-tu oubliée à quel point, son cœur était tendre et vulnérable ? A quel point, il était facile à blesser ? … Où, au contraire, avais-tu déjà tout comprit à ce qui se passait sous la caboche de ton élève préférée ?

Lorsque Maria rouvrit enfin les yeux, la brune de ses rêves avait quitté le canapé pour se retrouver derrière elle.
-Bouges pas, lui demanda cette dernière avant de se mettre à farfouiller dans sa chevelure.
Précaution bien inutile, en réalité. Même une armée de vampires n’aurait, en cet instant, pas réussit à l’empêcher de se faire soigner par sa jolie prof.
Sans sourciller, la potentielle laissa donc Kennedy s’occuper du mauvais coup qu’elle avait reçut à l’arrière de la tête. Profitant même de l’occasion pour se demander, si elle n’était pas en plein fantasme. En plein rêve ! … Et si en réalité, elle n’était pas encore allongée au milieu de cette cave, … inconsciente. Et que tout ce qui se serait passé depuis, … ce salon, cette Kennedy si douce, cette intimité, … ne serait pas en fin de compte qu’un pur délire de son esprit. Mais quelle que soit la réponse, c’était un monde qu’elle ne voulait plus quitter !
Car s’il s’agissait vraiment d’un rêve, Kennedy n’allait pas tarder à revenir pour l’embrasser. Et si c’était la réalité, … eh bien, cette soirée était en train de devenir diablement excitante.

Et lorsque finalement, la Tueuse lui répondit que l’une des rares choses qu’elle ne savait pas faire, était de réussir à se construire une vie sentimentale durable ; Maria sentit une vague de peine l’envahir. Avec une infinie tendresse, la petite brune posa alors sa main sur celle de l’Elue, qui lui faisait de nouveau face.
Non, elle ne pouvait pas être dans un rêve. Le sentiment de tristesse qui enserrait d’un seul coup son cœur, était trop fort pour ne pas être réel. Elle ressentait la souffrance de Kennedy presque aussi fort que si elle avait été sienne.
Sans même s’en rendre compte, la jeune Maria venait d’expérimenter une nouvelle facette de l’amour. Elle venait d’apprendre qu’il était plus difficile de voir une personne aimé souffrir, que de souffrir soi-même.
Le regard empreint d’un certain chagrin, elle baissa alors la tête vers leurs mains toujours réunis. L’espace d’un instant, elle voulut la lui serrer tendrement mais au dernier moment se ravisa et, la laissa simplement posée sur celle de la Tueuse. Maria entrouvrit les lèvres, tentant de dire quelque chose, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle était trop inexpérimentée en matière de relation amoureuse et, se sentait perdue. Dépassée par ses sentiments et ceux de sa camarade. Trouver quelque chose à lui répondre, allait sûrement lui prendre du temps. … En tout cas, plus que celui que venait de lui octroyer Kennedy.
-Mais c’est le cas d’une bonne partie de la population. Faut faire avec et espérer que la roue tourne un jour…, ajouta celle-ci plutôt rapidement, afin de pouvoir certainement passer à autre chose.

Très vite après ça, l’Elue se leva, rompant à nouveau leur intimité. Et, sans daigner jeter un seul regard en direction de son « élève », commença à ranger son nécessaire de soin. Peut-être que, tout comme Maria, elle avait besoin de souffler un peu après tout.
De son côté, la petite brune garda encore la tête baissée pendant de longues secondes. Le temps pour elle, de retrouver une certaine contenance, de reprendre le contrôle de ses émotions.
-Tu veux boire quelque chose sinon ? J’ai du soda, des jus de fruit, de l’alcool…, demanda soudain la douce voix de Kennedy depuis la cuisine.
Légèrement surprise par cette demande, la potentielle la fixa un instant avant qu’un tendre sourire ne revienne à nouveau illuminer son visage.
-Heu, … oui, pourquoi pas. Un jus de fruit, ça s’rait parfait. Merci !

Tandis que la Tueuse s’affairait à essayer de contenter sa jeune invitée, Maria en profita pour jeter un léger coup d’œil autour d’elle. La présence de Kennedy avait été si captivante, que la petite brune n’avait même pas pensée à observer la pièce dans laquelle elle se trouvait.
Se levant du douillet canapé, elle se dirigea vers la porte-fenêtre afin de pouvoir observer le balcon, tout en massant négligemment le bas de son dos. Même si l’on excluait le violent coup de poing en pleine figure, les entrainements avec Kennedy étaient plutôt rugueux et ses lombaires lui faisaient encore mal.
Et alors qu’elle contemplait les lumières de la ville endormie, Maria murmura de façon presque inaudible, une pensée qui venait soudain de lui traverser l’esprit.
-Je suis là moi, et j’ai l’intention d’aller nulle part.
Oui, c’était exactement ça ! Tout à l’heure, au lieu de baisser les yeux et de se taire comme une pauvre abrutie, … … voilà, ce qu’elle aurait dut dire. Voilà, ce qu’elle aurait dut répondre !
Mais, il était trop tard maintenant. Et puis, de toute façon, peut-être était-ce mieux ainsi ! Après tout, n’avait pas-t-elle décidée de garder tout ça secret ? D’enterrer son amour au milieu de ses espoirs déchus afin de ne pas risquer de gâcher ce si beau trésor, qu’était son amitié avec la Tueuse ?

De toute façon, Maria n’eut pas le temps de se poser longtemps la question. Un plateau à la main, Kennedy était revenue dans le salon.
La potentielle se saisit alors du verre de jus d’orange que lui tendit cette dernière et, tranquillement, retourna s’asseoir auprès de son amie qui d’une voix douce lui demanda :
-Alors Maria, parles moi de toi, de ce que tu veux, tant que ça te concerne.
Surprise, la brune qui était en train de boire, faillit bien s’étrangler.
-Hein ? … Que je te parle de moi ?, dit-elle entre deux quintes de toux.
Depuis le temps que les deux femmes se « fréquentaient », Kennedy savait déjà tout ce qu’elle avait besoin de savoir. Maria se demandait vraiment où celle-ci voulait en venir et, perplexe, fixa sa camarade pendant une à deux secondes. Puis, elle réalisa enfin que la question de son amie ne devait sûrement concerner que sa sphère privée et, lui renvoya son sourire. Voir que la Tueuse s’intéressait à sa vie, à elle, … lui faisait énormément plaisir.
-Bien sûr ! Elle haussa légèrement les épaules. Mais, tu sais ! … Ma vie et moi, on a vraiment rien d’extraordinaire. Maria laissa passer quelques secondes. Alors, comme tu le sais déjà, je suis originaire de L.A. et j’suis venue à Sunnydale, plus ou moins attirés par ta bouche … … Oh oui, ta bouche ! Cette bouche auquel je voudrais tant goûter, que je … … (elle rougit) Mais qu’est-ce que je raconte, bon sang ! LA … la bouche ! La bouche de l’enfer, quoi ! Terrain glissant. Change de sujet, vite ! Heu, … sinon, je viens d’une famille plutôt modeste et j’ai arrêté mes études pour me mettre à la chasse aux vampires. Ce que bien sûr, mes parents n’ont pas trop aimé ! Elle fit un petit sourire en coin. Enfin, ça et d’autre petites choses. … … Et si l’on fait exception de mon « côté » tête en l’air, du fait que je n’aie pas le permis, de mon allergie à la pénicilline, et que tout les matins, je ressemble à un véritable épouvantail, … je suis une fille tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Je fais les boutiques, regarde de vieux films, tchatte parfois sur Internet, engloutit des litres de café et des kilos de donuts par jour, et chante sous la douche.

La potentielle finit son verre et le posa sur la table basse. Elle parlait beaucoup, disait beaucoup de choses. C’est vrai, pas nécessairement toutes intéressantes ou utiles. … Parce qu’en réalité, elle omettait sciemment de parler de certains sujets. Il n’y avait pas eut dans son petit discours, un seul mot sur son homosexualité, ni sur les raisons qui l’aurait poussé à traquer les vampires. Et moins encore, sur ce mystérieux pouvoir qui parfois lui permettait de distinguer certaines scènes du passé ou du futur.
Maria n’avait voulut prendre aucun risque. Elle ne voulait pas tout gâcher et lui faire peur. Non, elle n’aurait pas supporté que pour l’une ou l’autre de ces raisons, la Tueuse finisse par la rejeter. Et, avait donc choisit de garder tout ces petits détails secrets. Toutefois, elle pouvait peut-être se permettre de rajouter encore une petite chose.
-Marianne Miller. C’est comme ça que je m’appelle ! Elle se passa paresseusement la main dans les cheveux. Maintenant, libre à toi de me nommer comme tu le souhaites ! … Maria ou Marianne.
Cette histoire de prénom semblait totalement sans importance, voire anecdotique. Mais pas aux yeux de la potentielle !
Marianne Miller, était aussi le nom de sa propre grand-mère. Une femme dure, acariâtre, pour ne pas dire méchante, que la jeune femme n’avait jamais particulièrement aimée. Porter le même nom que cette dernière lui faisait mal, et c’est pourquoi elle l’avait raccourcit en Maria.
… … Et pourtant, elle autorisait parfois certaines personnes à l’appeler ainsi. Une permission qu’elle ne donnait qu’à des personnes en qui elle avait, une réelle confiance. Qui comptait pour son cœur. Et depuis son arrivée à Sunnydale, Kennedy était la première à qui elle en parlait.
Que la Tueuse l’appelle ou non Marianne, n’était pas le plus important. Ce qui comptait, c’était qu’elle lui ait donnée le privilège de faire ce choix.

Tout en plongeant son regard dans celui de Kennedy, la petite brune changea légèrement de position, s’installant plus confortablement dans le canapé.
-Et toi ? … A part que tu es une Tueuse, que tu travailles au Bronze et, (elle jeta un coup d’œil tout autour d’elle) que tu as un chouette appart, … j’ignore aussi beaucoup de choses sur ma prof préférée.



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