WHEDONVERSE : TALES OF BUFFY

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Dogs aren't ghosts' best friends [ft. Gareth]

Coraline Price
Coraline Price
ÂGE : 35
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Lun 19 Nov 2012, 4:40 pm
Coraline Price
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Qu’était-elle? Qu’était-elle supposée faire, où était-elle supposée aller? Tant de questions, et bien d’autres encore, tournant et retournant dans son esprit. Du temps où elle était humaine, son existence était parsemée de certaines certitudes, auxquelles elle s’était toujours raccrochées : elle savait pouvoir compter sur sa famille, malgré les difficultés rencontrées par le passé. Elle savait qu’elle voulait passer sa vie avec l’homme qu’elle aimait. Elle savait qu’elle était débrouillarde, et que, malgré les difficultés, elle retomberait toujours sur ses pieds. Bien sûr, lorsqu’elle songeait à ces dites difficultés, jamais la mort ne lui était venue à l’esprit. Comme tout le monde, elle y avait songé parfois, mais elle s’était imaginé qu’à ce moment-là, tout cela n’aurait plus d’importance. Jamais elle n’aurait pu envisager son décès sous un tel angle. A présent, son monde était peuplé d’incertitudes, au point que quoi qu’elle fasse, elle ignorait où elle mettait les pieds. Son avenir quel qu’il puisse être, lui était totalement inconnu. Elle ne savait qu’une seule et unique chose: elle n’était pas supposée se trouver là. Quelque chose clochait, mais pour le moment, elle ignorait de quoi il s’agissait. Ignorant ce que le futur lui réservait, elle se raccrochait tant qu’elle pouvait aux souvenirs de sa vie passée. Oh, elle savait parfaitement que tout ceci était une mauvaise idée, elle savait qu’elle devait laisser les vivants derrière elle et aller de l’avant.

Et pourtant, ce jour-là, elle se trouvait juste devant la maison où elle avait passé son enfance, avant que ses parents divorcent et qu’elle parte avec sa mère s’installer à New York. Elle se souvenait clairement des larmes de crocodile qu’elle avait versées le jour où il lui avait fallu quitter cet demeure qui avait été l’univers de ses plus tendres années. La première fois qu’elle l’avait revue s’était produite quelques jours seulement après son retour en ville, et à l’époque, elle avait été frappée par cette bâtisse laissée à l’abandon qui n’avait pratiquement plus rien de commun avec celle de son enfance. Pourtant, elle avait continué à passer devant, régulièrement, comme attirée par les souvenirs que contenait ce lieu. Et encore maintenant, à présent qu’elle était morte, elle ne pouvait s’en défaire.

Mais après tout, pourquoi n’entrerait-elle pas, au fond? Oh, elle savait que ce n’était pas forcément une bonne idée, mais la maison était visiblement inhabitée et personne ne serait obligé de le savoir. Deux parts luttaient en elle: l’une lui criait de rebrousser chemin, de laisser le passé de côté, tandis que l’autre la poussait à marcher vers la porte. Ce fut la séduisante voix de cette dernière qui l’emporta. Elle n’essaya même pas de tourner la poignée, se contentant de se téléporter directement à l’intérieur.

Elle se retrouva au beau milieu du salon, ou plutôt, de ce qu’il avait un jour été. Si elle n’y avait pas vécu si longtemps, elle aurait très probablement eu quelques difficultés à reconnaître l’endroit. La demeure était tout simplement délabrée, et la voir ainsi lui fit un pincement au coeur. Elle était pourtant en parfait état lorsqu’ils en étaient partis, mais elle n’avait malheureusement pas dû trouver preneur.

Coraline fut soudainement tirée de ses pensées par un bruyant aboiement. L’instant d’après un chien fondait sur elle. Du temps où elle était vivante, elle adorait les animaux, mais depuis sa mort, son amour des bêtes s’était très nettement refroidi. Elle ignorait pourquoi exactement, mais il semblait que ceux-ci parvenaient à sentir sa présence, présence qui visiblement ne leur plaisait pas du tout et celui-là semblait particulièrement agressif. La revenante eut le réflexe de se téléporter sur la table du salon, ce qui ne refroidit pas le canidé, bien au contraire. Elle commença à craindre que quelqu’un ne soit attiré par le bruit.

« Tais-toi ! Va-t-en, laisse-moi tranquille... »

C’est alors qu’elle entendit des bruits de pas se rapprocher. Bien évidemment, le propriétaire ou les voisins avaient dû être alertés. Elle ne prit cependant pas la peine de disparaître, sachant parfaitement qu’un simple humain ne pourrait la voir. Non, tout ce qu’il verrait, c’était cet imbécile de chien en train de s’égosiller dans le vide.
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Gareth R. Hill
Gareth R. Hill
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Jeu 06 Déc 2012, 1:47 pm
Gareth R. Hill


DOGS AREN'T GHOSTS'

BEST FRIENDS!





❝ feat. CORALINE & GARETH. ❞



- Alors madame Dudley, c'est encore la toilette qui vous mène la vie dure ou c'est la lampe du salon qui fait des siennes cette fois?

- Ortence! Mon bel Ortence!

Cette bonne vieille femme qui l'appelait à tous heures du jours et de la nuit?
Cette bonne vieille femme c'était madame Dudley, sa tendre et chère voisine d'en face. Celle qui avait trouvé en Gareth le brave petit gaillard qu'il lui fallait pour surmonter les Ô grandes misères de la vie quotidienne. Vous savez; absence déconcertante de lait au frigo, disparition inopinée du chat, petite souris malicieuse qui s'agite au sous-sol… Les grandes misères de la vie, quoi!

Ortence?
Ortence c'était lui, le vaillant petit Gareth. M'enfin Ortence c'était le prénom de son défunt mari. Prénom qui lui collait désormais à la peau depuis son arrivé dans le quartier. Il avait beau l'avait repris une bonne centaine de foi à ce sujet, pour elle, il serait toujours son bel Ortence. Et malheureusement pour lui, le combat était peine perdu.

- Oui madame Dudley. Que puis-je faire pour vous?

-Pas pour moi voyons! C'est pour vous que j'appelle!
La conversation prenais une bien drôle de tournure. Sa voisine venait de capter son entière attention. Il y a quelqu'un. Les lumières se sont allumés à l'intérieur depuis votre départ, je crois que quelqu'un c'est introdu-, 350 fahrenheit. Mmm. Ça doit bien faire 15 minutes depuis-. Et pourtant c'est encore tout mou. Hein? 350? 15 minutes? Encore mou? Mais de quoi elle parle celle-là? Elle a complètement perdu la boule la pauvre! Ortence, quand vous aurez viré cet intrus de chez vous, vous m'appellerez, d'ici votre retour les sucres à la crème devraient avoir figés!

- Madame Dudley, il y a quelqu'un chez moi?

- Doux Jésus, est-ce que vous m'écoutez lorsque je vous parle?

BIP.BIP.BIIIIP.
- Ortence? Ortence? Vous êtes toujours là?
Gareth avait aussitôt raccroché le combiné. Il enfouit son cellulaire au fond de la poche de son vieux jeans troués et repris sa marche d'un pas accéléré en direction de sa demeure. Heureusement pour lui, il était déjà sur le chemin du retour, maintenant plus qu'à quelques rues de chez lui.

- Declan! Maugréa-t-il entre ses dents. Il n'y avait aucun doute, c'était une autre stupidité signé par son collègue ridiculement stupide avec qui il avait le malheur de partager beaucoup trop de quarts de travail… Gareth avait beau le rembarrer poliment chez lui, à chaque fois, il était de retour. Comme la peste, je vous jure! Titan ne jappait même plus quand il arrivait pendant son absence! C'était d'un ridicule, je vous assure!

Se rapprochant de plus en plus de sa demeure, un bruit inusité alarma Gareth. Des jappements. Les jappement de son chien. Impossible.
Le cœur battant, il enjamba les quelques marches de son patio et enfonça sa porte d'entrée. Instinctivement, Gareth se dirigea à l'origine des jappements. Titan se trouvait là, poil redressé et air menaçant dans la cuisine, à fixer cette silhouette imposante…
Bon on se mentira pas, Gareth avait connu beaucoup plus intimidant à travailler dans le milieu carcérale, mais bon cet intrus avait tout de même prit la peine de grimper sur la table de sa cuisine, alors il fallait bien lui donner un point pour l'effort, non?

- Euhm. Bonjour à vous! Moi c'est Gareth. Il lui tendit la main. Le propriétaire de cette maison…et de cette table sur laquelle vous êtes perché. Et vous, vous êtes?
© Disturbed.


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" SATELLITE HEART " •  So pretty, so smart. Such a waste of a young heart. What a pity what a shame. What's the matter with you man? Don't you see what's wrong. Can't you get it right? Out of mind, and out of sight. I'm a satellite heart. Lost in the dark. I'm spun out so far, you stop I start, but I'll be true to you.
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Coraline Price
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Sam 15 Déc 2012, 1:29 pm
Coraline Price
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Coraline était dans une posture pour le moins inconfortable. Bien sûr, elle aurait pu se contenter de disparaître hors de cette maison, mais elle était venue jusqu’ici et elle avait envie d’explorer un peu plus la vieille demeure. Malheureusement, ce chien semblait déterminé à lui gâcher son plaisir. Elle chercha autour d’elle le moyen de s’en débarrasser, mais sans qu’aucune idée satisfaisante ne lui vienne en tête. L’animal ne cessait plus d’aboyer et il se montrait plutôt agressif. La voyait-il? A vrai dire, elle n’en savait rien, elle n’avait jamais eu l’occasion de vérifier si elle était visible ou non aux yeux des bêtes, mais quoi qu’il en soit, il sentait sa présence, c’était certain, et il ne l’appréciait pas. Elle était différente, elle n’était pas humaine et il le percevait.

Il y avait bien évidemment un moyen, auquel elle avait un peu de mal à se résoudre : si elle usait de sa télékinésie, elle pourrait le faire reculer, et même le mettre à la porte afin de le faire taire. Car c’était bien ses aboiements qui la gênaient, et même l’inquiétaient. Elle commençait à craindre qu’il n’alerte tout le voisinage et que des curieux aient l’idée de venir voir si quelqu’un n’était pas venu cambrioler la maison. Quoiqu’il n’y ait pas grand chose à voler ici. Même si personne ne pourrait la voir, elle n’avait aucune envie d’être entourée d’individus bruyant tandis qu’elle explorerait la maison de son enfance. Elle répugnait à user de ses pouvoirs contre un malheureux chien, mais en l'occurrence, elle n’avait pas vraiment le choix.

Se redressant sur la table, elle s’apprêtait à mettre ses plans à exécution, lorsqu’elle fut interrompue par une voix masculine. Elle ne l’avait pas entendu entrer à cause des aboiements de l’animal. Elle sursauta au point qu’elle manqua de tomber de la table, mais elle parvint heureusement à retrouver l’équilibre. Elle se tourna vers lui et le fixa. Etait-ce à elle qu’il s’adressait ? Impossible ! Par réflexe, elle se retourna, mais bien évidemment, personne ne se trouvait derrière elle. C’était bien à elle qu’il parlait, à elle qu’il tendait la main, comme si cette situation avait été ordinaire. Peu assurée, elle parvint malgré tout à lui répondre.

« Je m’appelle Coraline... j’habitais ici... » Une fois encore, elle jeta un coup d’oeil derrière son épaule, avant de se tourner de nouveau vers celui à qui appartenait apparemment cette maison. « Vous... vous pouvez me voir ? »

Cela faisait déjà un certain temps qu’elle avait appris que certaines créatures pouvaient effectivement la voir, néanmoins, elle se sentait toujours un peu perturbée lorsque cela arrivait, surtout quand elle s’y attendait le moins. S’il pouvait la voir, c’est qu’il était évidemment une créature surnaturelle. Décidément, elle allait finir par croire que celles-ci étaient plus nombreuses que les simples êtres humains à Sunnydale. C’était un véritable miracle qu’elle ait vécu si longtemps dans l’ignorance lorsqu’elle était encore en vie. Encore un peu abasourdie, elle prit sa main et s’apprêta à descendre.

« Je ne savais pas que cette maison était habitée... je suis désolée. »

Et c’était quelque chose qui ne l’arrangeait pas vraiment. Ceci dit, si Gareth n’avait rien contre les fantômes, elle pourrait toujours négocier avec lui afin de pouvoir faire un tour sur les lieux de son enfance. Elle s’avança sur la table et se baissa afin de mettre le pied au sol. C’est alors que le chien se rua sur elle en aboyant. Elle savait qu’il ne risquait pas de lui faire mal, mais même sachant cela, la perspective de se faire mordre n’était guère tentante. Elle poussa un petit cri, lâcha la main du jeune homme et remonta brusquement sur la table. Trop brusquement peut-être, puisque le meuble commença à vaciller...

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Spoiler:
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Gareth R. Hill
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Mer 16 Jan 2013, 12:47 pm
Gareth R. Hill


DOGS AREN'T GHOSTS'

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❝ feat. CORALINE & GARETH. ❞



Gareth avait instinctivement froncé les sourcils, perplexe. Le coin de ses lèvres étaient venue s'étirer dans un léger sourire, laissant transparaitre son amusement face à l'étrangeté de la question. Euhm, je sais pas par chez vous, mais ici, c'est rare qu'un inconnu posté sur notre table de cuisine passe inaperçu dans le décor! Répliqua-t-il toujours aussi déboussolé par la tournure dont prenait la situation. Et pourtant je peux vous jurer que j'étais le pire au Où est Charlie!

Voyant la légèreté avec laquelle son maître régissait la situation, le berger allemand avait finit par arrêter de japper mais grognait instinctivement au moindre mouvement ou son que pouvait faire l'inconnue à qui il n'avait encore accordé sa totale confiance. D'un claquement de doigt, Gareth indiqua à son chien de se taire et d'une lancée moins autoritaire s'agenouilla vers le visage massif de sa bête qu'il caressa doucement du revers de sa main. T'inquiètes Titan! Tout va bien. Allez, va maintenant! Lui avait-il ordonné doucement en lui indiquant d'un coup de tête le vieux canapé du salon, maintenant mieux connu sous l'appellation appartements de notre majesté canine, puisque personne ne s'y assoyait jamais et que Titan passait le claire de sa journée vautré dessus, le museau au travers les rideaux, à inspecter ce qui se tramait à l'extérieur. Aussitôt, le berger allemand se dirigea vers le salon, quittant la cuisine d'un pas lent et incertain. Toujours autant sur ses gardes, il renia son poste d'observation habituel et s'assit au seuil de la pièce, fixant d'un regard ardant la nouvelle venue. Je ne sais pas pourquoi, mais il n'a pas l'air de vous aimer beaucoup! Vous lui auriez pas voler des croquettes tout de même? Lança-t-il sur un ton faussement investigateur a l'égard de la jolie brune toujours perchée sur sa table à manger.

« Je ne savais pas que cette maison était habitée... je suis désolée. »
À ce commentaire, Gareth balaya l'endroit du regard. M'ouais, à voir l'état dans lequel se trouvait la maison, le mutant ne pouvait pas vraiment lui en vouloir d'en être venue à cette conclusion… Il n'y avait presque pas de meubles, aucune décoration et la charpente de la demeure semblait incontestablement sur le point de tomber en ruine. Les murs ne semblaient même plus posséder la force de se soutenir eux-mêmes, la plupart des portes ne tenaient plus à leurs socles et le toit était presque littéralement entrain de leur tomber sur la tête.
Il regardait tout ce bordel et n'y voyait rien. Rien du tout!
Aucun souvenir.
Et voilà exactement d'ailleurs pourquoi il avait acheter ce tas de ruine a un prix exorbitant - contenu l'état des lieux. - Repartir à zéro, loin de son passé et de cette nostalgie engluante, n'avait tout simplement pas de prix!
Il se retourna vers la brunette. Coraline, elle avait dit? Son regard. Son regard à elle en disant long. Sur elle. Sur l'endroit. Ces iris pétillaient de souvenir. Iris dans lequel on voyait visiblement sourdre une pointe de tristesse. À ce point, Gareth ne savait pas trop s'il enviait la jeune femme ou la plaignait d'ainsi baigner dans son passé. Il n’eut d'ailleurs pas plus de temps à consacrer à cet réflexion. Car voilà que la jolie brunette avait enfin décider de descendre de son nid. Main dans la sienne, il s'assurait que sa descente se passe bien. Elle avait toutefois à peine lever pied que Titan s'était rué vers elle, l'obligeant à regagner le confort de sa table. Instinctivement, Gareth s'était placer entre la bête et l'inconnue, forçant Titan à s'arrêter net dans sa lancée avant de s'asseoir face à lui. L'attitude de son maître en disait long, il n'attendit pas une seconde de plus et repartie au salon. Gareth fit rapidement volte-face, histoire d'excuser le comportement sur-protecteur de son cabot, lorsqu'il vit la jolie brune chanceler de droite à gauche du haut de son meuble.

La suite des choses s'était passé dans le style ralentis de Disney. Vous savez le moment tant attendu où le joli prince sauve la princesse des griffes du ô combien méchant dragon cracheur de feu! Il n'avait malheureusement pas assez de budget pour les effets pyrotechniques mais n'empêche que Gareth s'était élancé pour rattraper au vol la belle brune dont la figure s'approchait dangereusement du sol.
Coraline au creux de ses bras d'acier, contre son torse bombé et fier.
Oh oui, il avait beau faire preuve d'une modestie implacable, sur ce coup, il fallait dire qu'il avait vachement la classe! Il se retourna doucement, les yeux plongés dans les siens, pour la déposer au sol, lorsque:
BAM.
BAM: c'était son orgueil qui en prenait un sacrer coup dans l'entre-jambe. M'ouais!
Dans le genre BAM la tête de la jolie brune contre le coin de cette foutue table de bois.
Oh. Oh! OH! Désolé! Je suis tellement désolé! S'était-il exclamer en voyant la rougeur au front de Coraline prendre rapidement de l'ampleur… Attend je dois bien avoir quelque chose. Et merde, il venait d'emménager…Qui pensait sérieusement emballer son kit de premier soin lors d'un déménagement.
Et bah merde. Faudra faire avec ce qu'on a…

Et c'est ainsi que la pauvre intrus se retrouva avec un bifteck congelé étamper au front. Je suis vraiment désolé. Mais VRAIMENT désolé! Si je peux faire quoique ce soit…!
© Disturbed.

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